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COMMENT ANALYSER LES ÉLÉMENTS DU PARATEXTE ET SA SYMBOLIQUE
Pour analyser une œuvre littéraire, l’analyse de la page de couverture est très importante pour la compréhension du texte, mais surtout la meilleure manière pour l’aborder. Une approche symbolique faciliterait la compréhension et une interprétation claire et pertinente. Les éléments analysés dans la page de couverture relèvent des éléments du paratexte en englobant : l’analyse symbolique du titre et celle du message iconique ou ce qu’on appelle l’image. Les éléments susceptibles d’être analysés dans l’image sont : les couleurs qui relèvent de la chromatique, les chiffres qui relèvent de la numérologie, les dessins ou les photographies. Pour faire une interprétation précise et complète, la combinaison des différentes sciences à travers les divers symboles présents et apparents ou latents, permettrait de donner un sens plus approprié au contenu de l’œuvre, c'est-à-dire au texte. Un va et viens entre les différents éléments du paratexte (titre- image) permettrait d’établir un contrat de lecture.
La symbolique est l'ensemble des relations et des interprétations liées à un symbole. Un symbole peut être un objet, une image, un mot écrit ou un son qui représente quelque chose d'autre que ce qu'il est dans sa nature propre. Cette nouvelle signification est conférée par association, ressemblance ou convention sociale. Plus simplement, il est possible d'affirmer que le symbole est une comparaison suggérée par l'auteur (c'est-à-dire que le lecteur doit savoir le décoder). Le symbole a aussi une valeur culturelle et peut être interprété différemment en raison des traditions, des croyances, etc. Le symbole est un intermédiaire pour comprendre le monde du sens, le monde divin ou spirituel. Il est donc un filtre entre le moi et la Réalité, le Réel, la Vérité. Il évoque cette Vérité, lui donne une forme compréhensible ou plutôt « appréhensible » dans le sens que l’on peut l’appréhender, l’approcher, mais surtout communiquer avec elle.
L’Approche symbolique
Cette approche est primordiale pour l'analyse des signes, des symboles et des marques de la connotation. Quand nous consultons le dictionnaire du littéraire, nous ne trouvons pas d'approche symbolique, pourquoi ? Car en réalité cette approche est très divergente, c'est-à-dire, elle ne possède pas une base théorique stable pour son exploitation. Elle hérite cette divergence du caractère plurivoque du symbole : le symbole contient plusieurs sens selon chaque tradition, religion et mythologie. Donc, il est perçu d'une manière très différente aux yeux de chaque lecteur et critique. La critique symbolique considère que les thèmes se réalisent dans des images, dans l'imaginaire ou l'imagerie d'une œuvre, sous la forme de symbole; symbole qui peuvent, par exemple, tenir des quatre éléments de l’univers.
Dans ce cas, la critique symbolique est reliée à l'approche thématique, les travaux de Gaston Bachelard sur les éléments du cosmos en témoignent (l’eau, l’air, la terre et le feu et de leur différentes symboliques). Et si ces symboles tiennent des mythes, il est alors possible de parler de la critique symbolique comme d'une mythocritique, empruntant à la mythologie et à l'ethnologie. Les travaux de Dumézil Georges, Mircea Eliade et Claude Lévi-Strauss et Gilbert Durand conçoivent le mythe comme un symbole à interpréter.
En troisième lieu, si les symboles sont attachés à des complexes, il est possible de parler de la critique symbolique comme d’une psychocritique, aussi souvent d'inspiration jungienne (de Carl Gustave Jung) que freudienne (Freud). Les travaux de Charles Mauron, Marie Bonaparte, Marthe Robert et Gérard Bessette sur la récurrence des thèmes et des mythèmes renvoyant à un mythe personnel.
La symbolique par le biais de l'onomastique
L’onomastique donne à lire tout ce que le discours explicite ignore et/ou omet et/ou refuse de dire. L’étude des noms de lieux et de personnes constitue une partie de l’onomastique ou science des noms propres mais pour Brunot, l’onomastique est réduite aux noms de personnes. Marouzeau quant à lui, rattache l’étude des noms de personnes à l’anthroponymie (du grec « Anthropos » : homme et « onome » : nom) et à la toponymie, l’étude des noms de lieux (des grecs « topos » : lieu et « onome » : nom). Donc l’anthroponymie s’occupe des prénoms, noms de famille et pseudonymes.
C’est l’onomastique littéraire qui use le plus de noms propres de personnes et de lieux. Le rôle de ces noms va d’un emploi symbolique à un emploi réaliste. Le nom- clé est à mi-chemin du symbolisme et du réel. L’étude et l’explication des noms propres de lieux et de personnes fait partie de l’étymologie. Celle-ci a été conçue par les grecs comme : « une étude de la nature des choses par l’interprétation du langage ». Ce qui avait poussé Platon à rechercher la nature profonde et véritable des choses et des êtres dans le mot
La question qu'on se pose toujours est si le nom propre est créé juste pour désigner (une personne, objet ou lieu) ou il est porteur de sens, c'est-à-dire un signe complet et autonome? Tout d'abord, nous devons comprendre que l'onomastique est actuellement une science à part entière, après avoir était une branche de la lexicologie et de la linguistique.
L’onomastique est, aussi, en étroite relation avec l’histoire mais elle n’est pas une science historique. Elle est aussi en rapport étroit avec la sociologie car l’usage des noms propres étant rarement gratuit à l’égard de la société : les causes qui font naître tel ou tel toponyme sont toujours les causes sociales, et par conséquent historique : le nom surgit de la société pour la société. En effet, Certaines recherches ont ajouté à l’étude des noms proprement dite, des connaissances historiques puisées aux meilleures sources. L’onomastique est une science objective, qui nous apprend à intégrer l’histoire dans ce que nous sommes, elle nous apprend que notre présent est fait de notre passé et que notre passé s’est accommodé avec notre présent, c'est-à-dire que notre présent doit admettre et respecter notre passé tout comme notre passé doit accepter et s’intégrer à notre présent. Cette science s’attache au concret le plus étroit, ce qui permet d’affirmer sous cet aspect que l’onomastique est certainement une des sciences humaines les plus humaines.
Elle a pour objet l'étude des noms propres: leur étymologie, leur formation, leur évolution, leur usage à travers les langues et les différentes civilisations...etc, exemple: le nom Mohamed, désigne la personne qui remercie Dieu, dans son histoire religieuse, il est le prénom du prophète des musulmans, il est réemployé par toutes les personnes appartenant à cette religion surtout pour désigner leur enfant garçon aîné, il possède des dérivés comme: Ahmed, Mahmoud, Elhamide ...etc.
Les noms propres forment une classe de signes spécifiques, ils possèdent de la sémantique, de la pragmatique, et de l'histoire. Il existe des théories qui reconnaissent l'absence du sens du nom propre et des théories qui révèlent le sens du nom quand il s'identifie au référant (sémiotique). Par contre, la sémantique référentielle nous explique que le nom propre est vide de sens que lors qu'il est hors contexte, où si on n’a pas sur lui des connaissances encyclopédiques. Après l'avoir inséré dans le contexte et après lui avoir attribué des descriptions définies, le nom cesse d'être un simple désignateur pur, pour atteindre une autre dimension significative, celle du symbole comme nous l'explique Russell. Ainsi, un nom propre peut remplacer un énoncé ou une idée, par exemple: Elle n'est pas Aphrodite! Pour dire pas aussi jolie que la déesse grecque. Toujours dans la section des symboles, nous pouvons prendre l'exemple de la fameuse Nedjma de Kateb Yassine, où ce nom propre est une sphère débordante de sens et de signification, et qui a atteint le statut de symbole d'amour, de liberté, de patriotisme, d'engagement et d’élévation mystique.
La symbolique par le biais de la chromatique
« La couleur pense par elle-même indépendamment des objets qu’elle habite…prêter une pensée et un langage aux couleurs (…), c’est mettre en question la suprématie des arts verbaux »
Les croyances, valeurs et symboles attachés aux couleurs et leurs interprétations varient à travers le monde : la couleur serait ainsi un produit culturel. La couleur du « grec » « chroma » » trouve son origine dans la musique grecque et les notes altérées du chant grégorien ainsi qu’aux polyphonies médiévales. Le « chromatisme » fut employé pour donner plus de « couleur », plus d’expression à une note ou à une phrase. La chromatique est donc la science de la perception des couleurs.
La théorie des couleurs figure parmi les phénomènes naturels qui préoccupèrent vivement les savants, les artistes, et les poètes de tous les temps. Nous sommes tous sensibles d’une manière ou d’une autre au « langage véhiculé » par les couleurs. Les couleurs jouent un rôle considérable dans notre vie, elles nous entourent, leur harmonie ou leur disparité crée autour de nous un cadre agréable ou désagréable : nous les aimons ou les détestons. La couleur créée en nous une harmonie colorée qui sera sentit non comme une sensation seulement, mais comme un plaisir pour l’œil, en effet, beaucoup de relations se créent entre l’individu et son espace coloré.
De tous temps, l’homme a ressenti plus ou moins le pouvoir des couleurs. Il a associé celle-ci a des concepts, des sentiments, des signes et a été jusqu’à créer un véritable langage des couleurs. Au fil des siècles, artistes et scientifiques ont tenté d’apprivoiser la couleur. Pour les anciens égyptiens le mot « couleur » signifiait « être » « essence », chez eux le symbolisme des couleurs était très évolué.
Les couleurs sont utilisées dans différents domaines de la vie humaine, certaines ont des valeurs thérapeutiques : la psychologie utilise les couleurs pour analyser la personnalité, soigner et guérir certaines maladies psychiques : « les couleurs agissent sur l’âme, elles peuvent y exister des sensations, y éveiller des émotions, des idées qui nous reposent ou nous agitent et provoquent la tristesse ou la gaieté »
En fait, le langage des couleurs et le symbolisme pourraient nous entraîner plus loin, on peut les retrouver, dans les folklores, dans la mode, ou en littérature car ils sont issus de différentes sources, aussi bien de l’histoire et des traditions que des religions existant sur terre.
La symbolique par le biais de la numérologie
La numérologie fut une science utilisée d’abord par les Babyloniens, situés dans le sud de la Mésopotamie (Irak) depuis plus de trois millénaires avant notre ère, qui ont posé les fondements de l’astronomie, de l’astrologie et des mathématiques. Les Chaldéens, venus de l’Arabie orientale, avaient de grandes connaissances ésotériques, s’établirent dans les campagnes environnantes de Babylone et apportèrent leur contribution au savoir mésopotamien.
La science des nombres s’est enrichit au fil des siècles à travers ces égyptiens qui transmirent leur savoir aux grecques en reconnaissance pour leur aide et par de nombreuses recherches, notamment celles d’une figure marquante celle du mathématicien, fondateur de la tables de multiplication, Pythagore (père des mathématiques et de la numérologie) qui déclara que les nombres peuvent exprimer des capacités individuelles et influencer la destinée humaine. Il étudia pendant 22 années la symbolique des nombres et des lettres pour donner naissance à la numérologie en Egypte chez les prêtres.
Une autre personne, joue un rôle majeur dans l’expansion de cette science, c’est Moise (Moussa), initié lui aussi en Egypte lorsqu’il vivait dans les temples égyptiens comme étudiant puis comme prêtre : il eut les 33 degrés d’initiation c'est-à-dire, il apprit la géométrie sacrée, science secrète de haute valeur et la mystique des nombres ; ce qui nous amène à évoquer la Kabbale, voie d’ésotérisme mystique unie à la pensée juive : Kabbale, terme mystérieux, réservé aux initiés, qui donne un grand pouvoir magiques à ses utilisateurs. Les kabbalistes cherchèrent à comprendre, expliquer, compter et mesurer l’univers et les lois qui le régissent à travers l’utilisation des chiffres.
C’est le 20ème siècle qui va permettre à la numérologie de prendre un essor vertigineux. La littérature devient abondante de la pratique et de la symbolique des nombres. C’est le comte Louis Hamon, connu sous le nom de « Cheiro » qui devint l’un des plus grands utilisateurs de la science des nombres ainsi que de la « chiromancie ».
La science de la symbolique des nombres est plus que jamais présente dans le monde moderne des affaires aussi bien en Occident qu’en Orient car elle fut et elle demeure une science vitale : « si l’on savait lire les nombres qui jalonnent notre vie, nous aurions la connaissance de notre destin…malheureusement, seuls quelques initiés savent les lire, et c’est bien dommage », disait Pappus. La numérologie est cette discipline qui s’appuie sur les nombres, à l’instar de l’astrologie qui s’appuie sur les astres. Elle est moins connue et beaucoup moins pratiquée alors qu’ « il y a une beauté voire une poésie ou une magie dans les nombres ».C’est un art « supposé » tirer de l’analyse numérique du nom, du prénom, de la date de naissance, des conclusions des caractères des personnes et des pronostics sur leur possible devenir c’est à dire que pour étudier la personnalité et le destin de chacun de nous, les nombres sont donc là, censés avoir le pouvoir d’influencer notre vie et notre comportement.
La numérologie est donc un outil de premier ordre pour qui désire se connaître, découvrir ses cycles de vie, les moments importants de son existence aussi bien passée qu’à venir. Son but est donc d’établir l’architecture de la personnalité. Elle s’intéresse plus particulièrement aux 9 nombres de base : toute une symbolique est fondée sur ces neufs premiers nombres (de 1 à 9), se déroule l’histoire de l’homme et du monde, faisant abstraction des autres nombres qui ne sont que des combinaisons des premiers .Chaque nombre résulte de la date et du nom de naissance propre à chacun d’entre nous. Elle s’intéresse particulièrement au cycle de la vie. La numérologie ramène tout à des nombres : cet univers fascine et intrigue en même temps.
Avec les chiffres (du latin cifra, « zéro » de l’Arabe sifr «vide »). C’est toute l’histoire de l’humanité qui défile. Ils représentent un élément clé de la symbolique humaine. Les nombres et les chiffres ont toujours constitué un langage privilégie pour toutes les autres sciences : ils ont par essence liée au secret Ils expriment des idées, des forces et leurs pouvoirs de symbolisation est énorme : L’interprétation des chiffres et l’une des plus anciennes sciences symboliques. Le nombre est le produit de la parole et du signe.
Paratexte et titre
Pour Henry Mitterrand :
Il existe(…) autour du texte du roman, des lieux marqués, des balises, qui sollicitent immédiatement le lecteur, l’aide à se repérer et orientent presque malgré lui, son activité de décodage. Ce sont au premier rang, tous les segments du texte qui présentent le roman au lecteur, le désignent, le dénomment, qui portent le titre, le nom de l’auteur et de l’éditeur, la bande annonce, la dernière page de couverture,…bref tout ce qui désigne le livre comme produit à acheter, à consommer, à conserver en bibliothèque, tout ce qui le situe comme sous-classe de la production imprimée, à savoir le livre, et, plus particulièrement le roman. Ces éléments (…) forment un discours sur le texte et, un discours sur le monde. [H. MITTERRAND, « Les titres des romans de Guy des Cars », in Sociocritique, Ed. Nathan, Paris, 1979, cité in Convergences critiques, Ed. OPU, Alger, 1990, pp. 28-30.]
La série des signes « inauguraux » qui déterminent un véritable « combat de lecture » et qui est souvent fondé sur « une rhétorique de l’ouverture entièrement codifiée », sont des éléments du paratexte ; désignations données par Gérard Genette dans son ouvrage Seuils. La paratextualité constitue l’une des formes de la transtextualité.
Les éléments du paratexte, nous servent de point de départ pour aborder les aspects généraux de l’œuvre et alimentent une réflexion sur l’ensemble de l’œuvre, livrent les clés pour permettre d’aborder et d’entrer dans le vaste univers crée par l’écrivain. Le paratexte, rappelons le, comprend un ensemble « hybride » et varié de signes qui présentent, introduisent ou « clôturent » un texte donné : titres, sous- titres, intertitres, préfaces, postface, épigraphe, illustrations, autrement dit tout ce qui entoure le texte, qui l’annonce, l’explique et le prédétermine.
Le paratexte est ce par quoi un texte se fait lire. Il entoure le texte en soi, se situe dans ses marges, constitue le seuil ; son effet, comme l’explique Gérard Genette, est diabolique. Un élément du paratexte peut communiquer une pure information comme il peut véhiculer une intention ou une interprétation. L’un de ses éléments paratextuel important est : le titre.
Le titre
« Le titre du livre est un paratexte linguistique qui relève de l’ordre du scriptural »
« Un livre est toujours formé de deux parties : une partie courte et une partie longue : la partie courte, c’est le titre, la partie longue, c’est le texte. Et ce qui est essentiel, c’est le rapport entre les deux, c’est l’équilibre qui se réalise entre cette partie courte et cette partie longue ». Léo Hoek, envisage le titre, comme un phénomène psychosocial, une insertion dans la société et l’historicité « découvrir l’idéologie du titre signifie en même temps dénoncer son imposture et mettre fin à son autorité ». Et il semble toutefois qu’il existe des relations : « entre les signes du texte et les objets auxquels ils renvoient ». Ces signes sont indispensables pour l’explication de texte.
Il fait partie de ces segments textuels qui entourent à proprement dit, le texte, seule enseigne du livre, il concentre autour de lui l’attention du public et acquiert par delà des qualités que lui disputaient les autres indications. Le titre est un élément autoritaire dans le texte parce qu’il joue un rôle très important : c’est lui qui programme, guide et oriente. Il « localise » une lecture par rapport à une autre, ouvre le texte, l’identifie et le désigne, c’est la partie la plus vue dans un texte ou dans une œuvre donc la plus lue. Le titre est le « nom » du livre et comme tel, il sert à le nommer.
Le titre permet d’identifier l’ouvrage, de désigner son contenu et de le mettre en valeur. Selon Hoek, on rencontre deux classes de titres : subjectaux (annonçant le sujet du texte) et objectaux (désignant le texte en tant qu’objet). Le titre, alors, résume, assume le roman et en oriente la lecture.
C’est à travers le titre que se dessine une certaine conception du roman : le titre est à la fois partie d’un ensemble et « étiquette » de cet ensemble. C’est un aimant qui est à la fois « stimulateur » et début « d’assouvissement » de la curiosité du lecteur. Titre et roman sont en étroite relation et se complète : « l’un annonce, l’autre explique et développe un énoncé… ». On peut dire que le titre ne peut exister indépendamment du texte qu’il désigne : le titre appelle le texte, tout en étant texte lui-même ou du moins fonctionne comme « la synecdoque » d’un co-texte. Il peut être considéré comme un « microcosme » d’un « macrocosme » ou comme partie représentant le tout.
Le titre est comme le message publicitaire, il peut circuler librement au sein de la vie sociale. Il réunit et remplit trois fonctions essentielles : 1)-La fonction d’informer : c’est la fonction référentielle. 2)-La fonction d’impliquer : c’est la fonction conative 3)-La fonction poétique : qui permet de susciter l’intérêt ou l’admiration.
Charles Grivel quant à lui propose les fonctions du titre suivantes : 1)-Identifier l’œuvre. 2)-Désigner son contenu. 3)-La mettre en valeur (séduction du public).
- Enseignant: Dounia Djerou